Nature et détection des courants universels
| |||||||
Les Travaux de LGV Rota | Les Articles de Layman | Nature et détection des courants universels | Les Antennes Souterraines | Les Courants Universels | Les théories de LGV Rota |
Sommaire
Présentation
Rota a écrit dans une note de laboratoire:
"Au début , j ai pensé que les courants telluriques étaient magnétiques en nature et en conséquence j'ai entrepris des expériences dans la concentration des ondes électromagnétiques de la longue longueur d'onde en utilisant la terre comme collecteur".
Aujourd'hui, nous les appellerions ondes électromagnétiques de basse ou Très basses (BF,TBF), mais nous verrons que cela nous conduit à quelque chose bien plus important.
Avant d'avancer plus au coeur de la découverte de Rota, les courants universels demandent quelques explications. Rota utilisait pour détecter ses courants un chronomètre et des écouteurs. Il s'agit donc d'un processus purement physique. Rota débuta par l'étude les courants électriques telluriques créés par l'induction résultant des variations du champ magnétique terrestre. Dans ses notes, Rota mentionne la théorie de Lord Kelvin proposant que ces courants proviennent de la rotation de la terre dans son champ magnétique nord/sud non-uniforme (Le pôle nord magnétique ne coïncidant pas avec l'axe de rotation de la terre). Rota repris l'idée de Lord Kelvin que les courants telluriques ou courants électriques du sous sol, sont intégralement d'origine terrestre et sans apport extérieur. Ainsi que mentionné ci-dessus, les courants telluriques perturbaient les premières installations télégraphiques qui ne comportaient qu'un seul fil monté sur des poteaux et un retour à la terre par l'intermédiaire de plaques métalliques enterrées. Rota entreprit l'étude des variations des courants telluriques notées par les opérateurs de télégraphe à la recherche d'occurrences systématiques. Il avait également noté que les bateaux en mouvement provoquent des variations de potentiel à basse fréquence sur cylindre en métal immergé dans l'eau comparé à un autre cylindre resté au-dessus de l'eau. Il élargit cette idée à la détection d'avion et exploita cette découverte en développant un appareil de détection spécial qu'il fit breveter (GB128624, GB129059, FR536324) .Au début, Rota pensait que les avions et les bateaux perturbent le champ magnétique des courants telluriques qui, selon lui, circulent continuellement dans la terre, et que son appareil breveté détectait ces perturbations. Cependant, vers la fin de la première guerre mondiale, il réalisa des expériences de radio transmission de sol. Il découvrit, qu'à certains endroits, que les variations de signal entre des tiges métalliques isolées plantées dans le sol et des fils isolés d'un autre métal enterrés à une certaine distance dépendaient de la nature des métaux de couple tige/fil. Il constata aussi que l'emploi de différents couples de métaux montraient simultanément différentes variations de signal. De ces observations, il conclut que les courants électriques qu'il avait transmis par la terre avait « un contenu intérieur » dépendant du métal employé. Il découvrit aussi que certains métaux transmettaient des signaux dans le sol dans certaines directions mieux que d'autres, et que lorsque l'antenne enterrée du récepteur était du même métal que celle de d'émetteur, la réception était meilleure. Ce qui lui suggéra que le signal radio était transmis dans le sol par une « émanation » directionnelle provenant du métal, et que cette émanation était fortement influencée par la direction du champ magnétique terrestre. En ce temps-là, les émetteurs puissants à étincelle étaient toujours utilisés pour les communications radio . On peut supposer qu' il étendit ce concept aux courants telluriques naturels, en les considérant comme des« émanations métalliques » provenant des profondeurs de la terre et transportant une énergie électromagnétique. Quelque chose de comparable à l'ionisation dont nous parlerons plus tard.
Le potentiel électrique, tel que le comprenait Rota, est une propriété de son agent porteur. Il ne devrait donc pas être considéré comme une chose unique en soit, mais comme une propriété d'un mélange de plusieurs composants. Les différents métaux, étant chacun plus sensible à un composant spécifique, séparent ce mélange. Rota comprit que ces composants fondamentaux révélés par les différents métaux étaient plus importants que le simple potentiel électrique global, car les émanations du métal pouvaient, un peu comme les jets ioniques, transporter une l'information complémentaire. Il constata que les émanations des métaux comportant un certain nombre de composants qu'il appela « les courants universels » puisque chaque composant existait universellement dans la nature et n'importe quel mélange de ces courants comporte un potentiel électrique et circule toujours comme un courant ionique. Cependant, ces émanations des métaux, qui ressemblent aux ions bien connus des chimistes, paraissent posséder d'autres propriétés.
Sondes ou blocs
L'analyse de l'appareillage de Rota nous permet d'obtenir une idée de son fonctionnement. Rota employait des sondes métalliques profondément enterrées pour détecter les potentiels du sol. Il appelait ces sondes des blocs. Ils étaient fabriqués de bandes stratifiées de plusieurs métaux (fer, étain, plomb, zinc, cadmium, nickel, etc.). Les blocs étant isolés du sol environnant, il est clair qu'il n'était intéressé que par les variations de potentiel résultant d'un couplage capacité/inductance dans les sondes ou les blocs plutôt que d'une conduction directe. (Il est possible que les ions produits à partir des métaux du bloc puissent effectivement pénétrer un vernis isolant, mais les blocs que j'ai déterrés ne montraient aucun signe de la corrosion bien qu'étant enterrés pendant plus de 20 ans). Toutefois, les blocs initiaux n'étaient probablement pas isolés du sol. Un important réseau de très gros câbles reliait les blocs au laboratoire. Deux blocs séparés d'environ 200 mètres constituaient une boucle d'induction pour le ou les courants universels de la terre.
Rota fabriqua les éléments enterrés avec des plaques de différents métaux. Ces ensembles formaient une structure métallique laminée que Rota appelait simplement un « bloc ». Un bloc, une fois enterré, capterait tous les types courants de lieu. D'autres locations s'avérèrent posséder différents groupes de courants ce qui demandait l'emploi de blocs constitués d'autres métaux. (Voir Fig. 1, 2, 3)
Les blocs (fig 1) étaient enterrés dans certains cas à une profondeur considérable. Rota pouvait détecter les courants telluriques, à l'aide d'un galvanomètre ou d'écouteurs conventionnels. If fit alors une découverte cruciale : la force du courant détecté au moyen d'un instrument dépendait du type de métal utilisé dans le bloc, suggérant ainsi une relation entre la nature du métal et le courant tellurique. En étudiant ces énergies telluriques, il trouva que sur deux blocs enterrés a proximité mais constitué de différents métaux, l'un donnait une bonne réponse alors que l'autre ne donnait peu ou pas de signal. En outre, à d'autres occasions, deux blocs adjacents pouvaient être en activité et un troisième pas du tout. Le bloc devint un moyen de capter des groupes de courant spécifiques d'un lieu. Capter différents courants exigeait des blocs composés de métaux différents.
Le rendement de ces blocs devint alors sensiblement plus grand en fonction de l'ajustement des quantités et des types de métaux utilisés. Curieusement, la masse du métal était importante. L'arrangement des différentes plaques de métal constituant un bloc devait correspondre à l'énergie tellurique détectée pour obtenir un signal maximum. En outre, la puissance des blocs s'améliorait au fil des ans sans aucune action extérieure. Ce procédé d'« acclimatation » prenait environ quatre ans.
Rota s'aperçut qu'il pouvait, avec une paire d'écouteurs, entendre les courants telluriques qui donnaient une note caractéristique une fois reliés aux blocs. Chaque bloc renvoyait une note différente, ou plus correctement une tonalité caractéristique; la note changeait périodiquement sur une période s'étendant de quelques secondes à quelques mois. La périodicité signifiait qu'il pourrait obtenir la même tonalité d'un bloc donné après un temps connu. Il s'est alors rendu compte qu'il y avait beaucoup de différentes sortes de courant tellurique, chacun donnant son propre son dans les écouteurs reliés à un bloc donné, chacun fluctuant d'une façon périodique caractéristique. Il prétendit plus tard avoir trouvé 361 types différents de courant tellurique. Tous les courants ont une direction fixe et généralement différente dans la terre. Leur intensité et ce que Rota appela leur densité changent, mais leur direction est toujours fixe. L'élévation et la chute de ces paramètres se produisait à heure fixe, ce qui permit à Rota de prévoir à l'avance quand un courant donné allait être en activité.
Une importante découverte
Comme mentionné précédemment, il existe un lien entre un courant tellurique donné et un métal spécifique. En expérimentant avec des blocs de métaux simples tels que le cuivre, le zinc ou le fer, il constata qu'un métal donné était sensible à plus d'un courant tellurique. Cependant, le nombre de courants telluriques discernables par les métaux usuels était relativement faible. Ainsi le cuivre est sensible à quatre courants spécifiques et le zinc à six. Rota nota que les blocs amplifiaient graduellement les courants. Ceci le conduisit à l'importante découverte suivante, tirée d'un de ses documents :
"I have come to discover and prove how, in placing a metal of whatsoever kind in direct and suitable presence of its own intrinsic current which gave to the metal its origin one succeeds in awakening the latent energy of this metal and consequently to have at our disposal immense free energy for all kinds of industry and its applications".
Si d'un métal enterré émane une certaine catégorie d'ions pénétrants, alors cette affirmation est une conséquence normale. Le métal comme source s'épuiserait avec le temps.
Rota en conclut que les courants telluriques devaient être bien plus complexes que l'électricité. Selon lui, l'électricité serait le résultat de l'action de deux courants telluriques et de trois courants magnétiques soit une interaction de cinq composants. Même l'attraction universelle aurait un courant de base. Ses vues originales seront discutées ci-dessous de manière plus détaillée. Ses idées s'éloignent du concept d'une émanation métallique et il pensait évidemment que les électrons n'étaient pas tous mêmes. En outre, à un certain moment Rota décida que les courants telluriques n'étaient pas confinées à la terre, mais provenaient du cosmos et semblaient jouer un rôle important dans la nature en existant partout sur terre y compris dans les êtres vivants. Pour cette raison il nomma les courants telluriques qu'il avait détectés les « courants universels ».
Les différences entre le Courant Universel et le courant électrique
One of Rota’s laboratory notes says this regarding electricity:-
“That which we call in physics Static Electricity is an imponderable which results from the action of two natural energies; these latter form part of an ensemble of cosmic energies the existence and effects of which I have discovered. These two energies have their own specific properties but they are able to form one single energy when certain conditions are fulfilled; one sees an analogue between natural electricity and that produced empirically in the usual way. Three natural currents, different from the first two, give birth to an energy which goes under the name of magnetism. The result of these five energies working together is what we call electromagnetism. Thanks to intrinsic properties of each one of them, these currents can, according to the elements which they meet either in nature or dispersed by the hand of man produce effects at the present time not understood”.
Ceci soulève la question de savoir si l'électromagnétisme est toujours constitué des mêmes énergies. Par exemple, l'électricité produite par une batterie à base de zinc et de cuivre est-elle la même que celle obtenue par une batterie à base de fer et de zinc? Ceci n'aurait rien à voir avec les volts et les ampères, mais serait lié à la « structure interne » du courant électrique. Si l'électricité est d'origine extérieurement et cosmique, alors « la structure interne » est toujours la même. Ce point de vue exige que l'acte de produire de l'électricité soit un processus impliquant l'attraction d'une énergie externe: un groupe spécifique de courants universels. Les courants telluriques originaux de Rota avaient un comportement très semblables à celui d'un courant d'ions métalliques. Quel que soit l'origine de l'électricité, les composants des courants universels n'agissent et ne réagissent apparemment pas entre eux. Le mécanisme d'échange se produisant seulement quand les courants sont en activité, les courants peuvent être considérés comme statiques et inertes. On verra plus tard que ces courants sont en activité dans la matière biologique et la vie dépend de telles actions et réactions. L'arrêt de cette activité cause la mort de l'organisme.
De toute façon il est important de noter que les instruments physiques seraient aveugles aux courants universels constitutifs du courant électrique, les instruments détectant seulement des volts et des ampères. Par conséquent deux groupes différents de courants universels ayant la même tension et le même voltage seraient vus identiquement par des voltmètres et des ampèremètres même si les constituants étaient différents. Les courants universels dans un courant électrique pourraient être chaotiques, ce qui explique probablement pourquoi Rota a indiqué que le courant électrique est une dégradation de ses composants courants universels. Quand les métaux impliqués dans la production d'un courant électrique « sont réveillés » le courant électrique détecté est le résultat d'une action et d'une réaction des courants constitutifs d'une manière coordonnée. Ceci produit une tonalité caractéristique qui peut être vue comme forme d'onde sur un oscilloscope ou être entendue dans une paire d'écouteurs à cause des grandes fluctuations dans le potentiel pendant que les divers composants synchroniquement s'ajoutent et se soustraient. Le « réveil » est un effet d'harmonisation que Rota a appelé Synchronisation. Les potentiels élevés produits de cette façon ont causé le choc Rota reçu pendant le sien des expériences tôt. Un analogue à ce processus est un orchestre. Si les membres jouent au hasard, il n'y a juste qu'un bruit de fond, mais s'ils jouent ensemble d'une manière coordonnée, qu'un air est entendu et également des impulsions beaucoup plus fortes de bruit.
Pour résumer, la différence entre le courant universel et le courant électrique est que ce dernier serait un groupe de cinq composants intérieurs statiques (c'est-à-dire sans action /réaction) tandis que les courants universels agissent et réagissent d'une façon cyclique. Un métal peut être activé, ce qui signifie que les courants qui le composent agissent et réagissent entre eux. Le réveil d'un métal est un processus appelé synchronisation. Plus tard on le verra que la matière biologique comporte des courants universels qui agissent et réagissent entre eux et que ces échanges cessent à la mort de l'organisme. L'électricité n'agit et ne réagit plus et ainsi par cette norme elle est morte. Le courant universel qui révèle ces échanges peut être considéré comme étant une « électricité vivante ».
Synchronisation
Revenons aux blocs utilisée par Rota. Quand un bloc multi-métallique est enterré pour la première fois dans un endroit approprié aux métaux, les différents métaux sont dormant. Avec le temps, les métaux deviennent actifs et produisent des impulsions cohérentes causées par les actions réciproques des groupes de courants du métal et donnant à ce métal une tonalité caractéristique. Comme mentionné ci-dessus, afin d'entendre cette activité avec des écouteurs, les métaux doivent être activés, leur énergie latente doit être réveillée. La tonalité d'un bloc résulte de l'action combinée des courants de tous métaux dans le bloc, comme un orchestre jouant un air. Par exemple, le zinc avec six courants donne une tonalité résultant de la somme des six courants qui le constituent. (Ceci suppose que le métal de zinc est réveillé par traitement avec un ou plusieurs de ses courants intrinsèques, autrement le métal est inerte). Si le zinc et le cuivre étaient reliés ensemble, le résultat serait un mélange aléatoire de dix courants différents, 4 pour le cuivre plus 6 pour le zinc. Cependant, une fois combiné dans un bloc enterré, sur une certaine période de temps, ce mélange évolue vers un son unique spécifique au bloc qui dépend des métaux le constituant. C'est le processus d'harmonisation que Rota appelait la synchronisation. Accompagnant la synchronisation, Rota trouva une importante augmentation d'énergie produite par le bloc comme si toutes impulsions se produisaient de manière ordonnée. Les impulsions produisent une signature tonale caractéristique. La synchronisation prend environ quatre ans pour atteindre son développement optimal. Ce délai ne dépendant ni de la masse, ni du volume: traiter 1 kilogramme prend autant de temps que traiter 100 kilogrammes.
La synchronisation se produit ensuite dans l'équipement de laboratoire utilisé avec les courants. Tous les fils, galvanomètres, voltmètres, ampèremètres et téléphones deviennent synchronisés. En l'absence d'une telle synchronisation, la « discorde » empêche rigoureusement l'écoulement de l'énergie du bloc. Comme mentionné ci-dessus, les instruments ordinaires de laboratoire tels que des voltmètres et les ampèremètres ne peuvent pas distinguer le courant électrique d'un groupe de courant universel. Un ampèremètre normal « non synchronisé » peut mesurer quelques milliampères provenant d'un bloc, mais un ampèremètre synchronisé connecté au même bloc affichera plusieurs ampères.
Il est peut-être utile à ce point de signaler un autre fait bien plus curieux. Rota maintenait que la force qui retient la matière ensemble au niveau atomique était une force qu'il appelait la « cohésion universelle », et que l'attraction universelle, qui est proportionnelle à la masse, provenaient de cette même force. Cette force était l'un ou un groupe spécial de courants universels. Il pensait qu'un élément se composait d'une sorte de noeud de courants universels (par exemple quatre courants dans le cas du cuivre) liés ensemble par la force de liaison du courant de l'universel cohésion ou de « gravitation ». Rota se rendait bien compte que les forces de gravitation était, à l'échelle atomique, extrêmement faible, ce qui implique l'existence de deux formes d'attraction universelle. La deuxième (bipolaire ?) est extrêmement forte ( c'est la force cohésive dans la matière) tandis que la première, mono-polaire, est un résidu microscopique significatif seulement dans le cas des grandes masses telles que des planètes. Il expérimenta cette deuxième forme avec ses machines anti-gravité.
Problèmes de détection de nos jours
Comme il le sera vu dans les brevets cités plus loin, tout objet paramagnétique en mouvement produit une perturbation pouvant être détectée par un électromètre ordinaire. Elle apparaît aujourd'hui sous la rubrique d'UBF (Ultra Basse Fréquence ou ULF: Ultra Low Frequency ). Ces perturbations seraient produites, par exemple, par les voitures et les avions. Rota pensait que ces perturbations provenaient d'une interaction entre la voiture ou l'avion avec les courants telluriques, c'est-à-dire les courants qui circulent dans la terre. Il parvint plus tard à la conclusion que ces courants étaient d'origine cosmique ou externe: une raison de plus pour rebaptiser les courants telluriques « courants universels ».
Les sondes enterrées isolées capteront une différence de potentiel si la perturbation dans le courant universel se déplace tel que les sondes soient influencées de façon inégale ou si elles se composent de différents métaux. Initialement, les paires de métaux produisent seulement une très faible variation de potentiel, mais graduellement les potentiels augmentent tandis que que les métaux à l'état presque inerte presque inertes s'activent progressivement. Il semble que Rota passa de nombreuses années pour s'assurer de cet effet.
Détecter les courants universels exige sans équivoque que le métal de la sonde soit activé comme mentionné ci-dessus. Il faut aussi que le métal corresponde au courant caractéristique de l'endroit. Si celui-ci de correspond pas, le métal ne deviendra jamais actif. Il est également essentiel qu'aucune action chimique n'aie lieu entre le métal de sonde et la terre, aussi doit-elle être isolée et protégée correctement.